21 grammes

21 grammes

On dit que nous perdons tous 21 grammes au moment précis de notre mort…

Le poids de cinq pièces de monnaie.

Le poids d’une barre de chocolat.

Le poids d’un colibri.

21 grammes.

Est-ce le poids de notre âme ?

Est-ce le poids de la vie ?

Paul attend une transplantation cardiaque. Cristina, ex-junkie, est mère de deux petites filles. Jack sort de prison et redécouvre la foi.

A cause d’un accident, ils vont s’affronter, se haïr… et s’aimer.

Peut-être le meilleur film de Alejandro González Inárritu. "21 Grammes", c'est à la fois une claque d'une rare violence et toute la lègèretè du monde! Entre "Amours chiennes" et "Babel", le rèalisateur mexicain a tournè ce film bouleversant, destins croisès de personnages fracassès par la vie, prodigieusement interprètès par une fragile Naomi Watts, un èmouvant Sean Penn et un ahurissant Benicio Del Toro! Ajoutez à cela la beautè ...

The Indian Runner

The Indian Runner

Joe Roberts et son jeune frère Frank ont grandi à Plattsmouth, dans le Nebraska. Enfants, ils sont très proches. Frank, violent et indiscipliné, est un adolescent à problèmes qui rejoint l’armée et part pour le Viêt Nam. Joe, fermier raté, devient policier. Le jour même où Joe, en état de légitime défense, a dû abattre un délinquant, Frank rentre du Viêt Nam.

Alors que Joe prône les valeurs traditionnelles de son pays, Frank cherche un sens à sa vie.

« Indian Runner » est inspiré d’une vieille légende indienne sur l’épreuve que doivent passer les jeunes gens pour entrer dans l’âge adulte.

Senn Penn nous livre ici son premier long métrage. On se laisse très rapidement emporté par cette histoire tournée dans des décors magnifiques. S'aidant d'une B.O magnifique, il nous narre une histoire, qui médite à la fois sur les tournants que prennent nos vies par nos choix déterminants et par les circonstances hasardeuses. Deux frères: réussite professionnelle, relation de couple heureuse et stable pour l'un. Caractère rebelle et violent pour l'autre. Appuyé par des performances d'acteurs remarquables, un David Morse irréprochable et surtout une brillante composition de Viggo Mortensen qui crève littéralement l'écran par son jeu d'acteur inquiétant et intense, il parvient à installer un sentiment de menace et de peur à chacune de ses apparitions. Sean Penn donne à réfléchir sur les chemins que peuvent emprunter deux êtres qui s'aiment. Un film personnel touchant tant dans sa réalisation que dans sa narration et éblouissant par son lyrisme, son intelligence et sa poésie.

Easy Rider

Easy Rider

Deux jeunes motards, Wyatt et Billy, décident de quitter Los Angeles après avoir vendu une grosse quantité de drogue. Ils projettent de participer à la célébration du carnaval de La Nouvelle-Orléans avec l’argent gagné.

Durant leur traversée des États-Unis sur leurs choppers, ils rencontrent une communauté hippie et découvrent son mode de vie. Arrêtés pour s’être joints sans autorisation à un défilé, ils sympathisent avec George Hanson, un avocat défenseur des droits civiques qui les accompagne dans la suite de leur périple. Les trois marginaux se confrontent alors à l’Amérique traditionnelle.

Ce film est, en 1998, sélectionné pour conservation par le National Film Registry de la bibliothèque du Congrès pour son apport significatif au cinéma américain et à la culture des États-Unis. Il s'agit de la première réalisation de l'acteur Dennis Hopper, qui coécrit le scénario avec Peter Fonda et Terry Southern. Ce road movie est devenu un emblème de la génération hippie des années 1960-1970.

Vol au-dessus d’un nid de coucou

vol au dessus d'un nid de coucou

L’histoire est centrée sur R. P. McMurphy qui, en simulant, se fait interner dans un hôpital psychiatrique pour échapper à la prison après avoir été accusé de viol sur une mineure. Il va progressivement être touché par la détresse et la solitude des patients. Par sa forte personnalité, il s’oppose rapidement aux méthodes répressives de l’infirmière Ratched.

Dans le titre original en anglais, le terme « cuckoo », qui a comme premier sens l’oiseau coucou, désigne également en argot une personne mentalement dérangée, à l’image des patients de l’hôpital psychiatrique où se situe l’intrigue. La traduction du titre en français aurait donc pu être Quelqu’un survola le nid des dingues. Pour la sortie du film, le distributeur français souhaita une traduction plus proche phonétiquement du titre original que celle de la première traduction du livre chez Stock en 1969, qui était La Machine à brouillard. Le livre fut ensuite réédité avec le même titre que le film lors de la sortie de celui-ci.